Les dommages causés par la survenue d’une catastrophe naturelle sont souvent importants. Il est toutefois possible d’être indemnisé par la garantie catastrophe naturelle de son assurance auto si votre véhicule a été endommagé.
L’état de reconnaissance de catastrophe naturelle fait l’objet d’une Loi en France.
Comment définit-on la catastrophe naturelle ? Que couvre cette garantie en assurance auto ?
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En résumé …
C’est la prise d’un arrêté ministériel qui va définir et caractériser un événement climatique de grande ampleur en tant que catastrophe naturelle. La première condition permettant le fonctionnement de la garantie catastrophe naturelle est la publication au Journal Officiel de l’arrêté ministériel attestant de la caractérisation du sinistre en tant que tel. Le délai de déclaration du sinistre est de 10 jours à compter de la parution de cet arrêté. Afin d’être applicable, la garantie catastrophe naturelle doit être complémentaire d’une assurance dommages. Il n’est donc pas possible de la souscrire seule. Si vous souhaitez souscrire à cette garantie, la prime en tant que couverture additionnelle suppose quelques dizaines d’euros par an. Elle est, en revanche, automatiquement comprise dans la formule d’assurance tous risques.
Quand peut-on parler de catastrophe naturelle ?
Pourquoi souscrire à la garantie catastrophe naturelle en assurance auto ?
L’appréciation des dommages causés à un véhicule en assurance auto peut concerner : – une carrosserie abîmée par la chute d’un arbre ; – un pare-brise fracturé ; – un toit cabossé par la chute de grêle ; – des vitres brisées ; – une destruction partielle ou totale de la voiture.
Assurance auto : que couvre la garantie catastrophe naturelle ?
La garantie catastrophe naturelle permet d’indemniser les assurés sinistrés lorsqu’un événement climatique imprévu et de grande ampleur lui a causé des dégâts, ainsi qu’à son véhicule. Parmi les catastrophes naturelles les plus « communes », il est possible de citer :
– Les inondations ;
– Les chutes de grêle;
– Les tremblements de terre ;
– Les tornades ;
– Les ouragans ;
– Les orages ;
– Les vents violents ;
– Les tsunamis ;
– Les mouvements de terrain ;
– Les séismes ;
– Les cyclones ;
– Les avalanches ;
– Les éruptions volcaniques ;
– Les blizzards.
Cette protection supplémentaire ne fait pas partie des garanties obligatoires à souscrire.
Les assurés optant pour une assurance au tiers (c’est-à-dire la couverture minimum obligatoire) ne possèdent donc pas de garantie contre les catastrophes naturelles.